C’est au nom de la nécessité de « droits de douane réciproques » que Donald Trump justifie sa politique protectionniste. Ambivalent, le concept a changé de camp aux Etats-Unis : instrument de protection du marché américain avant 1934, la réciprocité a été un levier pour ouvrir les marchés par la suite, avant de réintégrer, en 1980, le vocabulaire protectionniste.
Quelques organisations pionnières proposent aujourd’hui des congés supplémentaires aux femmes affectées par la ménopause dans leur quotidien professionnel.
Peu exportatrice vers les Etats-Unis, la filière redoute un report vers l’Europe de la production de nombreux pays concurrents. Une perspective qui inquiète les industriels, qui commencent à peine à remonter la pente après les crises sanitaire et de l’énergie.
Né aux Etats-Unis dans les années 1950, le concept, communément employé en sciences sociales, est au cœur de la guerre culturelle que mènent les leaders réactionnaires, de Trump à Poutine et Milei, contre les politiques d’égalité des démocraties libérales.
Le document, porté par la députée socialiste Isabelle Santiago, souligne la « crise d’attractivité majeure » du secteur, qui compromet gravement l’accueil des enfants, et fait une liste de 92 recommandations.
Pour se défendre face à d’éventuelles campagnes à venir, les multinationales européennes ont pris les devants.