« L’économie de la guerre » (2/6). Partout sur le continent, les budgets augmentent et les industriels se disent prêts à pousser les murs. Symbole de cette remilitarisation profonde, une des pistes vise à soutenir la transition d’industries civiles vers le militaire.
Un étudiant a été matraqué lors d’une mobilisation, le 7 juillet 2024, à l’occasion des élections législatives. Les fonctionnaires responsables n’ont pu être identifiés et échappent donc à toute sanction.
Comme à chaque crise géopolitique, les enseignants doivent répondre aux interrogations de leurs élèves. Dans les classes de troisième et de terminale, les programmes sont percutés par l’actualité.
Les taux des prêts immobiliers continuent de reculer, et descendent à 3,35 % en moyenne sur vingt ans. Pour l’emprunteur, c’est le moment de faire jouer la concurrence entre les établissements ou de renégocier son prêt.
Le rendez-vous des promoteurs et investisseurs ouvre à Cannes le 11 mars. L’âge d’or des programmes tertiaires semble révolu. Mais l’investissement dans le logement (dont les Français manquent) a du mal à prendre le relais, la mode étant plutôt à l’hôtellerie et aux résidences services.
« L’économie de la guerre » (1/5). La forte hausse des dépenses consacrées à la défense, qui devraient passer de 2 % à 3,5 % du produit intérieur brut, va soutenir l’activité économique. Mais en ravivant les contraintes d’offre et d’approvisionnement, elle risque aussi de relancer la hausse des prix.