Le premier ministre est accusé d’avoir menti sur sa connaissance des violences perpétrées contre les élèves de l’établissement catholique. Il est auditionné, mercredi 14 mai, par la commission d’enquête parlementaire née de l’affaire.
Les incertitudes politiques, la peur de se tromper et un stock de biens à vendre important font hésiter les acheteurs qui, ces derniers mois, renoncent plus souvent qu’auparavant après s’être engagés à acquérir un bien, au dire des agents immobiliers.
La professeure de droit publique explique, dans un entretien au « Monde », comment la recherche et les universités seraient mieux protégées sur le Vieux Continent qu’aux Etats-Unis face à un gouvernement illibéral.
Le premier ministre est auditionné, mercredi 14 mai, à l’Assemblée nationale par la commission d’enquête sur les violences dans les établissements scolaires. Une échéance pour laquelle il s’est préparé, afin d’effacer les contradictions et les mensonges des derniers mois et de sortir enfin du déni.
La marche, interdite par la Préfecture de police avant d’être autorisée par le tribunal administratif, s’est déroulée dans une atmosphère tendue dans le quartier de Montparnasse, sous la protection des CRS.
« Le Monde » a pris connaissance de l’interrogatoire de première comparution de l’ex-communicant du groupe Lagardère, mis en examen en novembre 2024 pour « complicité d’achat de vote et d’atteinte à la liberté du vote » et « complicité d’abus de pouvoirs ».